Atterrissage. Il y a dans ce bout d’île aucune exubérance. Et pourtant tout y est puissance. La lave et l’océan, la vague et le volcan.

Terre de contrastes aux mille lumières du jour, vent d’ouest et de face, tout bouge, tout change.

La lave et l’océan, la vague et le volcan.

Aux confins des mondes souterrains, ensevelis ou sortis ???? de terre, tu nous éblouis.

La lave et l’océan, la vague et le volcan.

Planète Lanzarote, tu es unique, insoupçonnable, parfaitement imparfaite, rude et abrupte, douce et langoureuse.

Tu es la lave et l’océan, la vague et le volcan.

Je ne rêve que d’une chose. Te reconquérir. Mais pas pour sortir gagnante d’une histoire où il n’y a rien à gagner. Simplement partir encore et encore à ta rencontre, et peut-être toucher un petit bout de cœur.

Tu es la lave et l’océan, la vague et le volcan.